« Certes, il reprend des motifs qui, de son temps déjà, étaient devenus des topiques de la poésie amoureuse : le printemps et la naissance de l’amour, le mal d’amour considéré comme le plus grand bien, le secret amoureux, la beauté parfaite et divine de la dame, la haine des lauzengiers (…) Mais Bernard dépasse la tradition poétique de ses devanciers et contemporains et infuse aux thèmes de la fin’ amor une intensité émotionnelle rarement égalée au Moyen-Âge. »
Moshé Lazar